Lyon ancien et moderne / Historic Lyon
Un tableau mémoire pour découvrir #Lyon avant et aujourd'hui. Photos, affiches, dessins, gravures... témoignent des évolutions de la cité. Certaines…
More
·
603 Pins
17h
Collection by
![Le théâtre des Célestins illuminé pour la Fête des Lumières 2017, 20e édition. Chaque année la façade de ce théâtre à l'italienne fait partie des site phare de l'évenement #numelyo #FeteDesLumières #souvenir #BibNum](https://i.pinimg.com/200x/5b/e3/72/5be372ec1c42325252fb6166341b9cdd.jpg)
![Photographie réalisée en 2011 pendant la Fête des Lumières à #Lyon : ce #dragon à l'image des contes de fées et de chevaliers est une installation de Cédric Verdure/Blueland, projet parrainé par Recyclum, matériel Philips éclairage #numelyo #BibNum #souvenir #FêteDesLumières](https://i.pinimg.com/200x/d6/d8/60/d6d860df3b27f1e683a6d983736080fe.jpg)
![Les Pikooks, #poissons lumineux aériens survolent le bassin d'eau rue de la République à #Lyon pour la Fête des Lumières 2017 #numelyo #FêteDesLumières #souvenir #BibNum](https://i.pinimg.com/200x/3b/e7/2a/3be72af261b1a428fc75f6b0d595943f.jpg)
Fête des lumières
7 Pins
![#JeudiPhoto📷 place de la Baleine dans le #VieuxLyon - il y a 45 ans.
L'enseigne du restaurant "Aux trois Maries" est toujours là ! Un quartier qui a connu d'importante restauration et qui est aujourd'hui un des hauts lieux du tourisme #Lyon #numelyo #photo](https://i.pinimg.com/200x/22/69/9b/22699b2a2a5ef8452ef8c3e0254fecce.jpg)
![1905 : un saut dans le temps, rue Victor Hugo à l’angle de la place Carnot #Lyon #LyonAvant #urbanisme ville](https://i.pinimg.com/200x/71/6c/42/716c42b9b3fd7f5dcd0b49d556e2853e.jpg)
![À l’angle de la rue Moncey et de la rue de Créqui, une boulangerie occupait déjà les locaux au rez-de-chaussée de ce petit immeuble de 2 étages au début du XXe siècle (à gauche sur la carte postale ancienne) #LyonAvant #numelyo #ville #Lyon #urbanisme](https://i.pinimg.com/200x/ca/8e/c4/ca8ec49a068c73b50a6e5e3d5433a816.jpg)
Rues de Lyon
75 Pins
![Située au cœur du 5e arrondissement de Lyon, la place Saint-Jean a, dans sa globalité, conservé son aspect d’antan. Espace de vie et de spiritualité, elle reste aujourd’hui encore un lieu de rendez-vous ou encore de passage privilégié pour les lyonnais et les touristes.
La fontaine au centre de la place, construite au XIXe siècle par René Dardel, architecte de la Ville de Lyon, abrite un groupe sculpté, réalisé par Jean-Marie Bonnassieux et représentant le baptême de Saint-Jean Baptiste, qui fait écho à la Cathédrale Saint-Jean Lyon](https://i.pinimg.com/200x/37/bb/c9/37bbc9369c9d5fe6417fe43be37e97db.jpg)
![Quand il y avait des cygnes dans les bassins d’eau qui ornent la place Bellecour dans sa partie sud #LyonAvant #Lyon #numelyo #PresquIle](https://i.pinimg.com/200x/92/f0/c8/92f0c850366e630c7a054f37f34de2a9.jpg)
![La place Saint-Paul, auparavant dénommée place de la Boucherie en raison des nombreux négoces de viandes qui s’y trouvaient, a été renommée suite à un arrêté du 26 mars 1846. L’église au nord de la place compte parmi les plus anciennes de la ville. La rue Lainerie, dont le tracé remonte au Moyen Âge, relie la place du Change à Saint-Paul. Certaines constructions sont de véritables œuvres d’art avec des cours intérieures et des galeries qui affichent un raffinement discret. Plus au nord, on retrouve également de belles demeures sur la rue Juiverie et encore au-dessus, l’"Hôtel Paterin" connu aussi sous le nom de Maison Henri IV avec ses escaliers Renaissance et ses galeries à grandes arcades soutenues par de massives colonnes #numelyo #LyonAvant #dessin #ville #Lyon #VieuxLyon](https://i.pinimg.com/200x/32/47/bf/3247bf8523b28dd2e578a783777cb4a3.jpg)
Places lyonnaises
102 Pins
![En 1837 Stendhal séjourne à Lyon, Il publiera dans ses Mémoires d’un touriste une description de #Lyon depuis la colline de Fourvière : « Je suis monté sur la tour de l’église de Fourvière. La vue est admirable. La Saône paresseuse coule avec lenteur sur les rochers au pied de la colline ; au-delà de la ville, du côté du Dauphiné, on aperçoit le Rhône impétueux qui vient se joindre à la Saône paresseuse à l'extrémité de la presqu'île de Perrache... Au delà du Rhône et d’une plaine de huit à dix lieues, on aperçoit tout près de terre les sommets les plus élevés des montagnes du Dauphiné, et enfin, beaucoup sur la gauche, quand le temps est serein, et surtout après une pluie d’été, on a la vue du vénérable Mont-Blanc, dont le trapèze s’élève bien au-dessus des nuages » #numelyo #souvenirs](https://i.pinimg.com/200x/71/98/ec/7198ececf08a3b017f5d48378e1d1c5e.jpg)
![Avec ce plan de la ville de Lyon au XVIIe siècle, l’archéologue Rogatien de Nail, revient sur la construction de quelques bâtiments notables pour l’histoire de cité. Avant les travaux au XIXe siècle qui privilégient de grands axes rectilignes, l’auteur, comme frappé de nostalgie, évoque le charme et l’originalité des constructions d’antan « sans ordre et sans alignement, [qui] alors poussaient au bord des rues, dans l’imprévu le plus charmant, tantôt creuses, tantôt ventrues ».
Lu dans la Construction lyonnaise n°18 du 16 septembre 1910🗞 #numelyo #LyonAvant](https://i.pinimg.com/200x/4a/7b/f9/4a7bf9d11071d6ce84c61b98ed4ed0ab.jpg)
![Voici un plan général du bourg de la Guillotière, mandement de Bèchevelin en Dauphiné. Le document original est réalisé vers 1710 par un certain Mornand, syndic du bourg de la #Guillotière. Ce notable a pour mission d’administrer et de défendre les intérêts du territoire. L’étendue géographique de l’exercice de son pouvoir est importante (limites en rouge sur le plan s’étendant jusqu’à Bron et Vénissieux) bien qu’il soit à cette époque constitué de fermes, de domaines isolés et de quelques villages reliés par des chemins ruraux. Seules quelques maisons se répartissent de part et d’autres de la Grande rue de la Guillotière, voie unique. On retrouve aussi le nom de Bechevelin. C’est l’appellation utilisée au Moyen-Age pour ce quartier avec sa tour érigée en 1180 #numelyo](https://i.pinimg.com/200x/41/d2/3a/41d23a6c3440d6ea235c7024086c1fbf.jpg)
Plans et vues de Lyon
117 Pins
![L’ancienne caserne des pompiers à la Croix-Rousse, rue Claude-Joseph Bonnet, en 190 : Cette dernière porte le nom d’un industriel dont la fortune repose sur la production de soieries lyonnaises. Il avait un magasin rue du Griffon et dirigeait une usine à Jujurieux qui a été réhabilitée pour devenir le Musée des soieries Bonnet.
Aujourd’hui cette caserne a laissé la place à un garage automobile qui fait l’angle avec la rue Roussy numelyo #Lyon #architecture](https://i.pinimg.com/200x/6a/1b/6c/6a1b6c0dd56ee60009728cf15afd1df0.jpg)
![au 10 Montée des Carmélites, un escalier monumental permet l'accès aux ouvriers vivant sur place et dont le métier nécessite de l'espace pour le transport de pièces de tissu lourdes et volumineuses : ce sont les canuts. Cette ancienne construction religieuse, a donc été entièrement réhabilitée pour le travail de la soie. Le Bistanclaque pan des métiers à tisser a remplacé le silence monacal.
Aujourd'hui c’est hôtellerie-auberge de jeunesse qui occupe l’espace au 10 Montée des Carmélites #numelyo #architecture](https://i.pinimg.com/200x/53/3a/a2/533aa2b9e403fbb0f46ef47c5ff92860.jpg)
![La Bourse du travail #Lyon a été imaginée par Charles Meysson, architecte en chef de la ville. La décoration intérieure a été réalisée en 1936 par plusieurs artistes et artisans locaux. La façade affiche des caractéristiques de l’Art Déco : typographie géométrique, fenêtres hexagonales et marquise en béton armé. Une des salles de réunion mise à disposition par la ville pour les salariés et leurs syndicats porte le nom d’Albert Thomas, fondateur de la « Revue Syndicaliste ». Berceau des grandes luttes sociales lyonnaises de 1936 à 1968, la Bourse du #travail a été le lieu des revendications de toutes les catégories socio-professionnelles. Dans les années 60, sa capacité de 1950 places lui permet d'accueillir aussi des spectacles #numelyo](https://i.pinimg.com/200x/ec/11/ae/ec11ae64f88b5d3377966698efd33c20.jpg)
Architectures lyonnaises
202 Pins
La Caserne des pompiers, rue Claude-Joseph Bonnet, à la Croix-Rousse, au début du XXe siècle
L’ancienne caserne des pompiers à la Croix-Rousse, rue Claude-Joseph Bonnet, en 190 : Cette dernière porte le nom d’un industriel dont la fortune repose sur la production de soieries lyonnaises. Il avait un magasin rue du Griffon et dirigeait une usine à Jujurieux qui a été réhabilitée pour devenir le Musée des soieries Bonnet. Aujourd’hui cette caserne a laissé la place à un garage automobile qui fait l’angle avec la rue Roussy numelyo #Lyon #architecture
En 1837 Stendhal séjourne à Lyon, Il publiera dans ses Mémoires d’un touriste une description de #Lyon depuis la colline de Fourvière : « Je suis monté sur la tour de l’église de Fourvière. La vue est admirable. La Saône paresseuse coule avec lenteur sur les rochers au pied de la colline ; au-delà de la ville, du côté du Dauphiné, on aperçoit le Rhône impétueux qui vient se joindre à la Saône paresseuse à l'extrémité de la presqu'île de Perrache... Au delà du Rhône et d’une plaine de huit à dix lieues, on aperçoit tout près de terre les sommets les plus élevés des montagnes du Dauphiné, et enfin, beaucoup sur la gauche, quand le temps est serein, et surtout après une pluie d’été, on a la vue du vénérable Mont-Blanc, dont le trapèze s’élève bien au-dessus des nuages » #numelyo #souvenirs
au 10 Montée des Carmélites, un escalier monumental permet l'accès aux ouvriers vivant sur place et dont le métier nécessite de l'espace pour le transport de pièces de tissu lourdes et volumineuses : ce sont les canuts. Cette ancienne construction religieuse, a donc été entièrement réhabilitée pour le travail de la soie. Le Bistanclaque pan des métiers à tisser a remplacé le silence monacal. Aujourd'hui c’est hôtellerie-auberge de jeunesse qui occupe l’espace au 10 Montée des Carmélites #numelyo #architecture
Place St-Jean et fontaine St-Jean-Baptiste
Située au cœur du 5e arrondissement de Lyon, la place Saint-Jean a, dans sa globalité, conservé son aspect d’antan. Espace de vie et de spiritualité, elle reste aujourd’hui encore un lieu de rendez-vous ou encore de passage privilégié pour les lyonnais et les touristes. La fontaine au centre de la place, construite au XIXe siècle par René Dardel, architecte de la Ville de Lyon, abrite un groupe sculpté, réalisé par Jean-Marie Bonnassieux et représentant le baptême de Saint-Jean Baptiste, qui fait écho à la Cathédrale Saint-Jean Lyon
1932 : la construction de la Bourse du travail - Lyon 3e
La Bourse du travail #Lyon a été imaginée par Charles Meysson, architecte en chef de la ville. La décoration intérieure a été réalisée en 1936 par plusieurs artistes et artisans locaux. La façade affiche des caractéristiques de l’Art Déco : typographie géométrique, fenêtres hexagonales et marquise en béton armé. Une des salles de réunion mise à disposition par la ville pour les salariés et leurs syndicats porte le nom d’Albert Thomas, fondateur de la « Revue Syndicaliste ». Berceau des grandes luttes sociales lyonnaises de 1936 à 1968, la Bourse du #travail a été le lieu des revendications de toutes les catégories socio-professionnelles. Dans les années 60, sa capacité de 1950 places lui permet d'accueillir aussi des spectacles #numelyo
Fourvière
Sur la colline du vieux forum d’où son nom est dérivé - #Fourvière vient du latin « Forum vetus » - se dresse dès le moyen âge une chapelle dédiée à la Vierge. Quelques années après une seconde chapelle est édifiée plus au nord : elle sera dédiée à Saint-Thomas. En 1562, les chapelles sont détruites par les armées protestantes du baron des Adrets. L’ensemble est reconstruit à la fin du XVIe siècle. Enfin en 1870, en pleine guerre franco-prussienne, c'est aux lyonnais de faire le vœu d'agrandir le sanctuaire si la ville est épargnée par l'armée ennemie… La première pierre est posée en novembre 1872 et acte le début d’un chantier gigantesque qui va durer 24 ans. L’église sera consacrée en 1896 et érigée en basilique en 1897 #numelyo #Lyon #colline
Quai de Saône à Lyon au XVIIe siècle
Juste après la première pile de l’ancien pont de pierre sur la Saône, où sont amarrées quelques embarcations, une maison en saillie surplombant le courant est supportée par une trompe : une portion de voûte tronquée. D’autres habitations s’élèvent au-dessus de la première arche, joliment nommée l’arche des Merveilles, jusqu’à la rive où l’on aperçoit sur la droite de grandes terrasses.
Ville de Lyon
Avec ce plan de la ville de Lyon au XVIIe siècle, l’archéologue Rogatien de Nail, revient sur la construction de quelques bâtiments notables pour l’histoire de cité. Avant les travaux au XIXe siècle qui privilégient de grands axes rectilignes, l’auteur, comme frappé de nostalgie, évoque le charme et l’originalité des constructions d’antan « sans ordre et sans alignement, [qui] alors poussaient au bord des rues, dans l’imprévu le plus charmant, tantôt creuses, tantôt ventrues ». Lu dans la Construction lyonnaise n°18 du 16 septembre 1910🗞 #numelyo #LyonAvant
Vieux Lyon. - Rue du Boeuf, 8, cour et montée d'escalier du XIIe siècle
Cour et montée d'escalier au 8 rue du Bœuf, un bâtiment qui, aujourd’hui, est devenu un Hôtel de Prestige : la Cour des Loges. Cet hôtel réunit quatre belles maisons Renaissance du Vieux-Lyon (2,4, 6 et 8 rue du Bœuf) lors de travaux qui débutent en 1981. La Cour des Loges est inaugurée en février 1987 #CartePosatleAncienne #numelyo #LyonAvant #architecture #VieuxLyon
Le pont du Change et les maisons en bord de Saône
Longtemps, les habitations qui bordaient le quai de la Pêcherie avaient les pieds dans l’eau, et ce, sans même évoquer les épisodes de crue. Toute la rangée de maisons baigne dans la rivière. Pour l’essentiel ces demeures sont détruites dans le premier tiers du XIXe siècle pour créer le quai. Ce dernier s’est successivement appelé « Duc de Bordeaux », puis « d’Orléans », et enfin « de la Pêcherie », probablement en mémoire des bateaux de poissons appelés « bachuels », qui occupaient cette partie de la ville. Sorte de vivier flottant, le bachuel ou « bateau à tenir le poisson » est composé de « bachus », coffre percé de trous, que l’on immerge pour conserver le poisson vivant. #numelyo #LyonAvant #Saône
La sortie de l'usine Rasuel
Créée par l’industriel Louis Neyron, l'usine de confection Rasurel a ses locaux à Lyon sur l’avenue Félix Faure. Les ouvriers et ouvrières confectionnaient essentiellement des sous-vêtements et des maillots de bains. À proximité deux piscines ont été construites dans les années 30 : une d’hiver et une d’été, ainsi qu’une salle dédiée aux défilés pour présenter les collections. La propriété de la famille, aux n° 19, 25, 29 avenue des Frères Lumière, a été, au début des années 60, entièrement réhabilitée pour accueillir la Maison des Jeunes et de la Culture du quartier Monplaisir #numelyo #LyonAvant